Victimes de sobriquets les plus méprisants : petite bonne, 52, bonniche, machine à tout faire, de nombreuses aides ménagères souffrent dans le silence.

Pour un revenu très maigre, elles doivent travailler sans relâche, dès l’aube au crépuscule et même très tard la nuit. Des sévices corporels en passant par la violence morale, elles subissent tout : aucun de leur droit n’est respecté. Pour défendre leurs droits bafoués, elles ont créé l’Association de Défense des Droits des Aides Ménagères et Domestiques (ADDAD). C’est avec amertume que Sitan Fofana, la présidente de l’ADDAD raconte leur vécu.

Source : Droit Libre TV