Toujours des nôtres pour saboter et saper l’effort de la frange la plus importante. Ils te parleront de diplomatie, de stratégies, de politiquement correct. Il n’en est rien. Juste des opportunistes. Des traîtres.
Qu’ils soient influenceurs, activistes, acteurs de la société civile, politiciens, journalistes ou autre, quand on met en lumière sa personne plutôt que les causes et les idées, quand on accepte des financements occultes souvent mêmes de ceux qui nous maintiennent en esclavage, le résultat est dans la gamme des Achilles Mbembe.
En plus des chefs d’états choisis, vous avez de ces pseudos intellectuels, artistes et autres qui ne sont mus que par les prébendes de la France afrique.
Ils sont pleins comme ça. Raffolant de la lumière sur leur petite personne, avec des agendas cachés pour leur propre ascension. Du bruit pour paraître, pour se faire, pour exister pour eux mêmes.
A contrario et heureusement il y a cette catégorie qui ne dépend de personne qui se donne la liberté de critiquer tout et tout le monde et dormir peut être le ventre moins plein mais tranquille.
Seule différence avec ces alignés bien soumis, on ne se retrouve pas comme des clowns à sourire à un Macron qui ne mérite aucun respect. On ne dort pas dans un hôtel 5 étoiles, on ne voyage pas en classe affaire mais on a sa dignité et on regarde dans le noir des yeux des dictateurs et des élites politiques corrompues et on leur dit en face allez vous faire voir.
Se regarder dans une glace et être fier de n’avoir pas vendu son âme à ce monde d’opportunistes sans scrupule est une immense fierté.
Salut respectueux aux non alignés qui ont préféré la dignité aux privilèges, aux sommets insipides et non sens.
Montpellier ou pas, la France et ses présidents doivent s’occuper de leurs affaires et les africains des leurs.
Il n’y a rien à améliorer dans les rapports Afrique France. Plus de 500 ans de fiasco ça va. Partez avec vos armées, laissez les peuples choisir leur dirigeants et gardez votre CFA. Voilà qui est dit en français facile.
Que la providence veille.
Fabbi Kouassi / FB
